D’un point de vue substantiel, ce colloque posait une question encore jamais traitée en tant que telle : Quelle place le corpus littéraire des utopies réserve-t-il à la peine ? Le châtiment a-t-il vraiment sa place en utopie ?
Initié en 2016, le symposium a poursuivi son examen des « questions coloniales et postcoloniales » en 2017, non dans l’objectif de rendre compte ou de prendre place dans une école de pensée particulière ou un champ d’études plus ou moins structuré, du type « postcolonial studies » et de mobiliser des constructions théoriques a priori, mais de privilégier une approche des problèmes concrets.
Ce colloque qui a eu lieu le 12 mai 2017 à l'Agora de Guilherand-Granges (Drôme) a mobilisé une centaine de participant.e.s, venu.e.s des horizons professionnels les plus divers. Outre les enseignants-chercheurs de l’Université (Grenoble, Lyon, Paris), il a réuni des magistrat.e.s, des avocat.e.s et de nombreux acteurs du monde associatif.